Bataille navale des Formigues
Victoire navale majeure des Aragonais sur la flotte française. Cette défaite maritime contribue à l’échec général de la croisade d’Aragon menée par Philippe III le Hardi.
1328 – 1492
Guerre de Cent Ans et épopée de Jeanne d'Arc. Crise de la féodalité et émergence de l'État moderne français face à l'Angleterre.
Victoire navale majeure des Aragonais sur la flotte française. Cette défaite maritime contribue à l’échec général de la croisade d’Aragon menée par Philippe III le Hardi.
Alors qu’elle bat en retraite vers la France après l’échec de la croisade d’Aragon, l’armée française, ravagée par la dysenterie, est attaquée dans les gorges pyrénéennes. L’embuscade déclenchée par les Catalans cause une débâcle. Philippe III meurt peu après à Perpignan.
Victoire rapide de l'armée royale française contre les troupes flamandes dans les environs d'Arques. Cette bataille s’inscrit dans une série de campagnes menées par Philippe le Bel pour mater la révolte des villes flamandes.
Défaite historique de la chevalerie française face à l’infanterie flamande, essentiellement composée de milices urbaines. Le terrain marécageux neutralise la cavalerie française, prise au piège et décimée. Les Flamands récupèrent près de 700 éperons dorés sur les cadavres des chevaliers, d’où le nom donné à la bataille.
Victoire navale décisive de la France au large de Zierikzee contre une flotte flamando-hollandaise bien plus nombreuse. L’intervention de navires génois, alliés de Philippe IV, joue un rôle déterminant dans la victoire.
Bataille confuse et acharnée qui voit les troupes françaises l’emporter après une contre-attaque décisive. Philippe IV manque de peu d’être capturé. Malgré l’indiscipline, les Français parviennent à repousser les Flamands, consolidant temporairement leur contrôle.
Victoire écrasante de Philippe VI de Valois face aux milices flamandes en révolte contre leur propre comte. L’armée royale écrase les insurgés à Cassel, malgré une attaque surprise initiale des Flamands.
L'une des plus grandes batailles navales médiévales. Édouard III remporte une victoire écrasante en détruisant presque toute la flotte française, ouvrant la voie au débarquement anglais sur le continent.
Victoire terrestre française contre les troupes flamandes soutenues par l’Angleterre. Une sortie surprise depuis la ville fortifiée déstabilise l’ennemi et provoque sa déroute.
Petite mais significative victoire française contre un détachement anglais en Poitou, lors d’un épisode secondaire de la guerre de Succession de Bretagne. Le commandement français capture une partie des troupes ennemies.
Victoire majeure de Charles de Blois qui capture Jean de Montfort après un assaut sur Champtoceaux. Cette victoire renforce momentanément la position du camp français dans la guerre de succession.
Défaite française face à une armée anglaise inférieure en nombre mais bien positionnée. Les archers anglais jouent un rôle décisif dans la victoire.
Combat acharné autour de la ville de Vannes. La bataille ne donne pas de vainqueur clair mais coûte la vie à Robert d'Artois, chef des forces anglaises. L’affrontement débouche sur une trêve diplomatique imposée par le pape et les rois de France et d’Angleterre.
Victoire éclatante du comte de Derby qui s’empare de Bergerac par surprise. L’armée française commandée par Louis de Poitiers est prise au dépourvu et battue. L’attaque ouvre la voie à une série de succès anglais en Guyenne.
Victoire retentissante du comte de Derby contre une force française largement supérieure. L’armée française, qui assiégeait Auberoche, est surprise et écrasée lors d’une attaque audacieuse anglaise combinant archers et cavalerie.
Déroute cuisant de la chevalerie française face aux tactiques défensives anglaises solidement coordonnées autour des archers et de l’infanterie.
Petite bataille locale en Saintonge : une force française tente d’intercepter un convoi anglais revenant de raid, mais tombe dans une embuscade bien préparée.
Tentative de reconquête menée par Charny sur une Calais affamée, prise en flagrant délit par la garnison anglaise suite à une trahison.
Engagement rangé près de Saintes entre forces françaises menées par Jean de Clermont et les troupes anglaises occupant la région. La bataille tourne à l’avantage des Français après une charge décisive de cavalerie.
Défaite des troupes françaises face à une armée anglo-bretonne plus mobile et mieux commandée. Guy II de Nesle est tué au cours du combat.
Les Français, en supériorité numérique, attaquent en quatre vagues mais sont repoussés par la défense anglaise bien organisée. Une contre-attaque surprise du Prince noir sur les arrières français déclenche leur effondrement. Le roi Jean II est capturé.
L’armée royale tente de surprendre les Grandes Compagnies installées près de Lyon. Mais ces dernières, bien renseignées, tendent une embuscade. L’armée française est écrasée. Le comte de La Marche et de nombreux nobles sont tués.
Bertrand du Guesclin affronte et vainc les forces anglo-navarraises qui soutiennent Charles le Mauvais de Navarre. Malgré l'infériorité numérique, il utilise un leurre et une attaque sur le flanc gauche pour désorganiser l'ennemi et capturer son chef.
La bataille oppose les partisans de Charles de Blois, soutenus par la France, à ceux de Jean de Montfort, appuyés par l’Angleterre. Malgré un engagement solide de Du Guesclin, les forces françaises sont vaincues. Charles de Blois est tué, Du Guesclin fait prisonnier.
La flotte castillane attaque la flotte anglaise venue ravitailler La Rochelle. Manœuvres habiles, tirs de bombardes, et combat rapproché conduisent à une victoire totale. La marine anglaise subit l’un de ses plus grands désastres.
Alors que Jean de Gand mène une chevauchée massive du nord au sud de la France, les Français parviennent à harceler son arrière-garde près de Chizé. L’attaque coordonnée des forces royales surprend les Anglais et leur inflige des pertes sévères.
L’armée royale française, commandée par le jeune roi Charles VI, affronte les milices flamandes en révolte contre l’autorité du comte de Flandre. Malgré leur supériorité numérique, les Flamands sont mal organisés et écrasés par une charge décisive de la cavalerie française.
Les forces franco-bourguignonnes interceptent les troupes flamandes et anglaises près de Dunkerque lors d’une expédition lancée par l’évêque de Norwich dans le cadre d’une croisade contre les partisans du pape d’Avignon. La bataille tourne à l’avantage des Français après une charge décisive de la cavalerie lourde.
Dans un contexte de rivalité commerciale et politique, la flotte française dirigée par Louis II d’Anjou engage la flotte génoise dans le port de Gênes. Grâce à un usage habile de l’artillerie navale et à un débarquement surprise dans l’arsenal, les Français infligent une lourde défaite à la République de Gênes.
L’armée française, bien plus nombreuse, tente d’encercler les troupes anglaises épuisées après leur longue marche depuis Harfleur. Sur un terrain boueux, les charges de la chevalerie française sont désorganisées et prises sous le feu constant des archers anglais, protégés par des pieux. Le massacre est total.
Profitant d’une séparation imprudente entre l’avant-garde anglaise et son infanterie, les troupes écossaises commandées par John Stewart de Darnley attaquent de flanc les Anglais menés par le duc de Clarence. Ce dernier meurt au combat, provoquant la panique et la retraite anglaise.
L’armée franco-écossaise tente de franchir l’Yonne à Cravant pour reprendre l’initiative dans le nord. Les forces anglo-bourguignonnes attaquent alors que l’armée ennemie est divisée par le fleuve. Les Écossais combattent vaillamment mais sont submergés par le tir des archers anglais et les charges combinées. Déroute complète des troupes du dauphin.
La bataille oppose les forces franco-écossaises à une armée anglo-bourguignonne lors d’une tentative française pour reprendre l’initiative dans la guerre. Malgré une résistance acharnée, les troupes françaises sont écrasées, subissant une défaite similaire à celle d’Azincourt.
Après plusieurs mois de siège anglais, Jeanne d’Arc arrive pour relever le moral des défenseurs et organise une série d’attaques visant à briser le siège. La supériorité tactique, la motivation renouvelée et la coordination des assauts conduisent à la levée du siège le 8 septembre.
Une attaque surprise française brise la formation anglaise d’archers qui avait causé de lourdes pertes à Azincourt. La cavalerie française charge avec succès, provoquant la déroute totale des Anglais et la capture de plusieurs commandants.
Les forces françaises utilisent efficacement leur artillerie contre les troupes anglaises, qui sont ensuite prises en tenaille par la cavalerie française. La bataille se solde par une défaite décisive anglaise, ouvrant la voie à la reconquête complète de la Normandie.
L'armée française, appuyée par une puissante artillerie, défend un camp fortifié face aux forces anglaises. La bataille se solde par une défaite anglaise décisive, avec la mort de John Talbot. Cet affrontement marque la fin de la présence militaire anglaise majeure en France.
1285-09-04
Victoire navale majeure des Aragonais sur la flotte française. Cette défaite maritime contribue à l’échec général de la croisade d’Aragon menée par Philippe III le Hardi.
1285-10-01
Alors qu’elle bat en retraite vers la France après l’échec de la croisade d’Aragon, l’armée française, ravagée par la dysenterie, est attaquée dans les gorges pyrénéennes. L’embuscade déclenchée par les Catalans cause une débâcle. Philippe III meurt peu après à Perpignan.
1298-07-04
Victoire rapide de l'armée royale française contre les troupes flamandes dans les environs d'Arques. Cette bataille s’inscrit dans une série de campagnes menées par Philippe le Bel pour mater la révolte des villes flamandes.
1302-07-11
Défaite historique de la chevalerie française face à l’infanterie flamande, essentiellement composée de milices urbaines. Le terrain marécageux neutralise la cavalerie française, prise au piège et décimée. Les Flamands récupèrent près de 700 éperons dorés sur les cadavres des chevaliers, d’où le nom donné à la bataille.
1304-08-10
Victoire navale décisive de la France au large de Zierikzee contre une flotte flamando-hollandaise bien plus nombreuse. L’intervention de navires génois, alliés de Philippe IV, joue un rôle déterminant dans la victoire.
1304-08-18
Bataille confuse et acharnée qui voit les troupes françaises l’emporter après une contre-attaque décisive. Philippe IV manque de peu d’être capturé. Malgré l’indiscipline, les Français parviennent à repousser les Flamands, consolidant temporairement leur contrôle.
1328-08-23
Victoire écrasante de Philippe VI de Valois face aux milices flamandes en révolte contre leur propre comte. L’armée royale écrase les insurgés à Cassel, malgré une attaque surprise initiale des Flamands.
1340-06-24
L'une des plus grandes batailles navales médiévales. Édouard III remporte une victoire écrasante en détruisant presque toute la flotte française, ouvrant la voie au débarquement anglais sur le continent.
1340-07-26
Victoire terrestre française contre les troupes flamandes soutenues par l’Angleterre. Une sortie surprise depuis la ville fortifiée déstabilise l’ennemi et provoque sa déroute.
1341
Petite mais significative victoire française contre un détachement anglais en Poitou, lors d’un épisode secondaire de la guerre de Succession de Bretagne. Le commandement français capture une partie des troupes ennemies.
1342-10-18
Victoire majeure de Charles de Blois qui capture Jean de Montfort après un assaut sur Champtoceaux. Cette victoire renforce momentanément la position du camp français dans la guerre de succession.
20 septembre 1342
Défaite française face à une armée anglaise inférieure en nombre mais bien positionnée. Les archers anglais jouent un rôle décisif dans la victoire.
décembre 1342
Combat acharné autour de la ville de Vannes. La bataille ne donne pas de vainqueur clair mais coûte la vie à Robert d'Artois, chef des forces anglaises. L’affrontement débouche sur une trêve diplomatique imposée par le pape et les rois de France et d’Angleterre.
août 1345
Victoire éclatante du comte de Derby qui s’empare de Bergerac par surprise. L’armée française commandée par Louis de Poitiers est prise au dépourvu et battue. L’attaque ouvre la voie à une série de succès anglais en Guyenne.
21 octobre 1345
Victoire retentissante du comte de Derby contre une force française largement supérieure. L’armée française, qui assiégeait Auberoche, est surprise et écrasée lors d’une attaque audacieuse anglaise combinant archers et cavalerie.
26 août 1346
Déroute cuisant de la chevalerie française face aux tactiques défensives anglaises solidement coordonnées autour des archers et de l’infanterie.
1349
Petite bataille locale en Saintonge : une force française tente d’intercepter un convoi anglais revenant de raid, mais tombe dans une embuscade bien préparée.
31 décembre 1349
Tentative de reconquête menée par Charny sur une Calais affamée, prise en flagrant délit par la garnison anglaise suite à une trahison.
1er avril 1351
Engagement rangé près de Saintes entre forces françaises menées par Jean de Clermont et les troupes anglaises occupant la région. La bataille tourne à l’avantage des Français après une charge décisive de cavalerie.
14 août 1352
Défaite des troupes françaises face à une armée anglo-bretonne plus mobile et mieux commandée. Guy II de Nesle est tué au cours du combat.
19 septembre 1356
Les Français, en supériorité numérique, attaquent en quatre vagues mais sont repoussés par la défense anglaise bien organisée. Une contre-attaque surprise du Prince noir sur les arrières français déclenche leur effondrement. Le roi Jean II est capturé.
6 avril 1362
L’armée royale tente de surprendre les Grandes Compagnies installées près de Lyon. Mais ces dernières, bien renseignées, tendent une embuscade. L’armée française est écrasée. Le comte de La Marche et de nombreux nobles sont tués.
16 mai 1364
Bertrand du Guesclin affronte et vainc les forces anglo-navarraises qui soutiennent Charles le Mauvais de Navarre. Malgré l'infériorité numérique, il utilise un leurre et une attaque sur le flanc gauche pour désorganiser l'ennemi et capturer son chef.
29 septembre 1364
La bataille oppose les partisans de Charles de Blois, soutenus par la France, à ceux de Jean de Montfort, appuyés par l’Angleterre. Malgré un engagement solide de Du Guesclin, les forces françaises sont vaincues. Charles de Blois est tué, Du Guesclin fait prisonnier.
22 juin 1372
La flotte castillane attaque la flotte anglaise venue ravitailler La Rochelle. Manœuvres habiles, tirs de bombardes, et combat rapproché conduisent à une victoire totale. La marine anglaise subit l’un de ses plus grands désastres.
21 octobre 1373
Alors que Jean de Gand mène une chevauchée massive du nord au sud de la France, les Français parviennent à harceler son arrière-garde près de Chizé. L’attaque coordonnée des forces royales surprend les Anglais et leur inflige des pertes sévères.
27 novembre 1382
L’armée royale française, commandée par le jeune roi Charles VI, affronte les milices flamandes en révolte contre l’autorité du comte de Flandre. Malgré leur supériorité numérique, les Flamands sont mal organisés et écrasés par une charge décisive de la cavalerie française.
25 mai 1383
Les forces franco-bourguignonnes interceptent les troupes flamandes et anglaises près de Dunkerque lors d’une expédition lancée par l’évêque de Norwich dans le cadre d’une croisade contre les partisans du pape d’Avignon. La bataille tourne à l’avantage des Français après une charge décisive de la cavalerie lourde.
27 juin 1407
Dans un contexte de rivalité commerciale et politique, la flotte française dirigée par Louis II d’Anjou engage la flotte génoise dans le port de Gênes. Grâce à un usage habile de l’artillerie navale et à un débarquement surprise dans l’arsenal, les Français infligent une lourde défaite à la République de Gênes.
25 octobre 1415
L’armée française, bien plus nombreuse, tente d’encercler les troupes anglaises épuisées après leur longue marche depuis Harfleur. Sur un terrain boueux, les charges de la chevalerie française sont désorganisées et prises sous le feu constant des archers anglais, protégés par des pieux. Le massacre est total.
22 mars 1421
Profitant d’une séparation imprudente entre l’avant-garde anglaise et son infanterie, les troupes écossaises commandées par John Stewart de Darnley attaquent de flanc les Anglais menés par le duc de Clarence. Ce dernier meurt au combat, provoquant la panique et la retraite anglaise.
31 juillet 1423
L’armée franco-écossaise tente de franchir l’Yonne à Cravant pour reprendre l’initiative dans le nord. Les forces anglo-bourguignonnes attaquent alors que l’armée ennemie est divisée par le fleuve. Les Écossais combattent vaillamment mais sont submergés par le tir des archers anglais et les charges combinées. Déroute complète des troupes du dauphin.
17 août 1424
La bataille oppose les forces franco-écossaises à une armée anglo-bourguignonne lors d’une tentative française pour reprendre l’initiative dans la guerre. Malgré une résistance acharnée, les troupes françaises sont écrasées, subissant une défaite similaire à celle d’Azincourt.
8 mai – 8 septembre 1429
Après plusieurs mois de siège anglais, Jeanne d’Arc arrive pour relever le moral des défenseurs et organise une série d’attaques visant à briser le siège. La supériorité tactique, la motivation renouvelée et la coordination des assauts conduisent à la levée du siège le 8 septembre.
18 juin 1429
Une attaque surprise française brise la formation anglaise d’archers qui avait causé de lourdes pertes à Azincourt. La cavalerie française charge avec succès, provoquant la déroute totale des Anglais et la capture de plusieurs commandants.
15 avril 1450
Les forces françaises utilisent efficacement leur artillerie contre les troupes anglaises, qui sont ensuite prises en tenaille par la cavalerie française. La bataille se solde par une défaite décisive anglaise, ouvrant la voie à la reconquête complète de la Normandie.
17 juillet 1453
L'armée française, appuyée par une puissante artillerie, défend un camp fortifié face aux forces anglaises. La bataille se solde par une défaite anglaise décisive, avec la mort de John Talbot. Cet affrontement marque la fin de la présence militaire anglaise majeure en France.