Bataille de Dürenstein

La division Gazan, isolée dans une gorge du Danube, est encerclée et attaquée de tous côtés par une force austro-russe bien supérieure. Mortier envoie des renforts pour éviter l’anéantissement. Les combats sont sanglants et intenses, mais les Français parviennent à se dégager.

Dans la poursuite de l’ennemi après la capitulation d’Ulm, Mortier avance trop loin avec une division isolée. L’armée austro-russe en profite pour tendre une embuscade.

Les Russes attaquent simultanément de front et sur les flancs, piégeant les Français entre les collines et le Danube. Les renforts français arrivent juste à temps pour éviter un désastre.

Bien que les Français échappent à la destruction, la bataille montre les limites de l’avance rapide sans coordination. L’alerte pousse Napoléon à resserrer ses colonnes avant la bataille décisive à venir.